Une vie forgée dans l’héritage, le leadership et l’esprit du guerrier
Salim Lyazidi est bien plus qu’un entrepreneur. Il est un bâtisseur d’héritage, un pont entre les cultures et un homme guidé par le code du Bushidō — cet ancien code d’honneur samouraï qui prône discipline, courage et service.
Né en Espagne, élevé aux États-Unis par des parents marocains visionnaires (dont un père qui a fondé le Pavillon du Maroc à Walt Disney World), Salim a grandi à la croisée de mondes, avec une vision du monde profondément enracinée dans la famille, l’excellence et le devoir.
Après des années passées à Wall Street, où il a occupé les postes de vice-président des investissements chez Citigroup, UBS et Bank of America, gérant un portefeuille de plus de 100 millions de dollars, il décide en 2020 de tout mettre entre parenthèses pour devenir le principal aidant familial de son père atteint de la maladie d’Alzheimer.
C’est dans cette période de transition que Salim revient à ses fondations personnelles : le jiu-jitsu brésilien, qu’il pratique depuis 1995. Pour lui, cet art martial n’est pas un sport — c’est une philosophie de vie. À travers cette pratique, il trouve une nouvelle mission : aider les femmes et les enfants en Espagne et en Europe à se défendre contre l’intimidation et la violence, en leur transmettant non seulement des techniques de défense, mais surtout une confiance et une force intérieure.
Il commence à collaborer avec des écoles et des centres communautaires, et prévoit d’ouvrir sa propre académie d’ici 2027.
Salim est également compositeur publié, parle cinq langues, joue du piano et de la guitare, et dirige depuis 2005 une agence internationale représentant des athlètes, artistes musicaux et combattants MMA de haut niveau.
Son engagement humanitaire ne s’arrête pas là : aux côtés de sa mère, il a cofondé la Save Our Children Foundation, qui œuvre pour placer les enfants vulnérables privés de parents dans des foyers sains et aimants, en évitant qu’ils ne tombent dans le système de placement.
Reconnu très tôt pour son leadership :
Il est le premier et unique Marocain à avoir reçu le prix “Dreamer and Doer” de Walt Disney World
Il a été nommé Jeune Homme d’Affaires de l’Année aux États-Unis en 2004, par la Fondation Hillary Clinton
Aujourd’hui, Salim partage ses réflexions sur l’immobilier international, les arts martiaux, et la construction d’un héritage à travers son plateforme en ligne suivie par plus de 5 000 personnes, dans cinq langues.
« Entoure-toi de guerriers, et tu ne combattras jamais seul. »
Ce n’est pas une citation vide de sens — c’est ainsi que Salim Lyazidi vit, dirige, et sert.